Kirchenordnungen

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Ordonnances ecclésiastiques.

Les ordonnances ecclésiastiques règlent la vie des Églises

On entend par Ordonnance ecclésiastique un ensemble de dispositions et de règles, promulguées par les Magistrats des villes ou les seigneurs, pour réglementer la vie ecclésiale des villes et territoires passés au protestantisme. Jusqu’à la fin de l’Ancien Régime, on compte, en Alsace, quarante-huit Églises territoriales autonomes, en majorité luthériennes. L’Ordonnance ecclésiastique remplace, dans ces Églises, le droit canon ainsi que, dans ses parties consacrées à la liturgie, le missel et les rituels traditionnels, ou encore le bréviaire. Les Ordonnances ecclésiastiques pouvaient aussi comporter un exposé historique, en évoquant, en particulier, la tradition doctrinale de l’Église concernée et en précisant la doctrine à laquelle les ministres devaient adhérer. À côté des Ordonnances ecclésiastiques, d’autres textes tels que divers mandements, des Ordonnances scolaires et des Ordonnances disciplinaires régissent également la vie des Églises, mais leur portée est plus réduite et ces textes s’inscrivent moins dans la durée. Il arrive aussi qu’ils soient intégrés dans l’Ordonnance ecclésiastique de l’Église concernée. Pour autant, l’Ordonnance ecclésiastique ne réglait pas tous les problèmes qui pouvaient se poser, ce qui rendait nécessaire la promulgation d’autres textes. Pourtant, elles sont des documents de référence dans la vie des Églises.

Les auteurs des ordonnances

De longueurs diverses, les Ordonnances ecclésiastiques ont été rédigées, pour l’essentiel, par des théologiens et des juristes. Ceux-ci ont repris des textes antérieurs, comme cela a été le cas de l’Ordonnance strasbourgeoise de 1598, dans laquelle on retrouve des parties d’une Ordonnance élaborée par Marbach en 1553-1557, mais jamais reconnue officiellement par les autorités civiles. En général, le préambule des Ordonnances fait apparaître que ce sont les autorités civiles qui promulguent le texte, qui est, en général, imprimé et qui aura autorité dans la ville ou dans le territoire concerné.

Ordonnances luthériennes, ordonnances réformées (calvinistes)

La plupart des Ordonnances ecclésiastiques sont d’inspiration luthérienne et concernent les territoires marqués par le luthéranisme. Les sept villages welches, Altwiller, Burbach, Eywiller, Görlingen, Kirrberg, Rauwiller et Hinsingen, repeuplés au XVIe siècle par des Huguenots immigrés du Royaume de France, faisaient partie du comté de Sarrewerden. Les pasteurs desservants doivent observer les stipulations de l’Ordonnance ecclésiastique luthérienne du comté, mais ils conservent une certaine liberté dans les croyances et les rites. Les bailliages de Bischwiller et de Cleebourg, relevant du duché de Deux-Ponts, suivent l’évolution du duc Jean Ier vers la confession réformée, qui s’exprime, en particulier, par l’introduction d’un catéchisme réformé en 1588-89. Mais l’Ordonnance de 1557 semble toujours en vigueur. Mulhouse, ville rattachée à la Suisse, reprend des textes divers de l’Église de Bâle, tels qu’une Agende (liturgie) réimprimée en 1565 et 1586 à Mulhouse, mais sans élaborer une Ordonnance ecclésiastique proprement dite. Le profil réformé est surtout sensible dans l’Ordonnance ecclésiastique de l’électorat palatin de 1563, dont relève le bailliage alsacien d’Altenstadt (Oberseebach, Schleithal, etc.). Tout en reprenant certaines parties de l’Ordonnance de 1556, celle de 1563 s’inspire aussi d’autres sources, telles que les Ordonnances ecclésiastiques de Zurich de 1535 et de Genève de 1541. L’Ordonnance contient le Catéchisme de Heidelberg de 1563, ainsi qu’un certain nombre de prières et de prescriptions concernant la célébration des sacrements et celle des mariages et des obsèques, les visites auprès des malades et des prisonniers.

Le baptême des enfants est justifié, en analogie avec la circoncision de l’ancienne alliance. Le corps et le sang du Christ ne peuvent être trouvés sous les espèces du pain et du vin puisque le Christ siège à la droite de Dieu. Pour la communion, il faut utiliser du pain plutôt que des hosties. L’Église a le devoir d’« exclure les incrédules et les impies jusqu’à ce qu’ils améliorent leur vie ». Il ne doit pas y avoir d’images dans les églises. Le deuxième commandement du Décalogue traite des images alors que la tradition luthérienne l’intégrait dans le premier commandement. Il ne faut donner la communion aux malades que si toute conception « magique » est écartée et que la famille prend part à la communion. Dans le culte paroissial, seuls des psaumes en langue allemande doivent être chantés.

Les grandes ordonnances alsaciennes

Quelques Ordonnances ecclésiastiques sont propres à certains territoires et villes d’Alsace. Ce sont celles de Strasbourg (1534 et  1598), du comté de Hanau-Lichtenberg (1573), de Munster (1575) et de Colmar (1637). Mais, dans bien des parties, elles ont repris des formulations d’autres Ordonnances ecclésiastiques, principalement de celle du Wurtemberg.

Seules deux Ordonnances émergent dans la première moitié du XVIe siècle : celle de Strasbourg de 1534 (Sehling 20, I, p.  230-245) et celle du comté de Hanau-Lichtenberg de  1545, connue sous le nom de « Réformation de Cologne ». Élaborée par Bucer (Bucers Deutsche Schriften 11, 1, p. 147-429), elle est adoptée dans le comté en 1545. Qualifiée, en  1573, d’Ordonnance ecclésiastique, mais jugée trop longue, elle sera remplacée à cette date par un nouveau texte. La plupart des Ordonnances voient le jour dans la seconde moitié du siècle, quand les Églises d’Alsace évoluent vers un luthéranisme orthodoxe. Citons, en particulier, celle de 1560 pour les possessions wurtembergeoises de Riquewihr, Horbourg et Montbéliard, celles de 1571 et 1605 pour La Petite Pierre, celle du Hanau-Lichtenberg de 1573, celle de Munster de 1575, celle de Sarrewerden de 1576, celle de Strasbourg de 1598. La dernière apparaît à Colmar en 1637. Les Ordonnances sont en vigueur jusqu’à la fin de l’Ancien Régime. Dans certains territoires, comme le comté de La Petite Pierre, celui de Sarrewerden et la baronnie de Fénétrange, les Ordonnances changent, en fonction des changements des autorités.

Dans bien des cas, l’Ordonnance ecclésiastique n’est pas propre à un territoire donné, mais est reprise d’une Ordonnance utilisée dans d’autres territoires de l’Empire, relevant du même seigneur ou prince. Ainsi l’Ordonnance du duché palatin de Deux-Ponts de 1557 (Sehling 18, I, p. 71-259) est en usage, du moins pour un temps, dans le comté de La Petite Pierre, dans les bailliages de Bischwiller et de Cleebourg et dans le comté de Sarrewerden. Mais d’autres Ordonnances apparaissent, telles que celle de Nassau-Weilburg de 1574-1576 (Sehling 10, III, p.  208-319) dans le comté de Sarrewerden, qui reprend presque totalement des Ordonnances de Hesse (1572 et  1574), à part les dispositions relatives au baptême, reprises de l’Ordonnance ecclésiastique du Wurtemberg. Il y a aussi celle de Leiningen-Westerburg (Sehling 19, II, p. 230-274), en vigueur dans la seigneurie d’Oberbronn. Dans les villages de Dehlingen, Fénétrange et Diemeringen, c’est d’abord l’Ordonnance ecclésiastique du comte palatin et prince électeur Otto Heinrich de 1556 (Sehling 14, p. 113-220) qui est en vigueur, puis, après 1603, celle des Wild- und Rheingrafschaften (Sehling 19, II, p. 588-640). L’Ordonnance ecclésiastique du prince électeur du Palatinat de 1563 (Sehling 14, II, p. 333-408) est en vigueur dans la seigneurie d’Asswiller et dans le bailliage d’Altenstadt. Dans le comté de Horbourg et dans la seigneurie de Riquewihr, c’était, en général, l’Ordonnance ecclésiastique du Wurtemberg de 1553-1559 (Sehling 16, II, p. 223-276) qui faisait autorité, moyennant l’une ou l’autre modification.

Les ordonnances strasbourgeoises

La première ordonnance (1534)

Une première Ordonnance ecclésiastique, promulguée à Strasbourg en 1534, était le fruit d’un synode, réuni l’année précédente. Face à certains dissidents, elle fixe la doctrine officielle de la ville qui s’était exprimée, selon cette Ordonnance, dans la Confession Tétrapolitaine et les Seize Articles. L’Ordonnance traite des pasteurs, de la manière de les choisir, de leur réunion tous les quinze jours avec les Kirchspielpfleger (curateurs). L’article sur les sacrements stipule que les enfants doivent être baptisés dans les six semaines après la naissance et que la cène doit être célébrée une fois par mois dans toutes les paroisses. Il est question de l’instruction religieuse, de la sanctification du dimanche et du mariage. Le dernier article traite des Églises dans les localités relevant de Strasbourg, en stigmatisant le relâchement des mœurs. Les Églises doivent être inspectées. L’Ordonnance énumère divers commentaires bibliques, qui doivent être présents dans chaque paroisse, à côté de la Bible, en version allemande et en version latine.

L’ordonnance de 1598 : la doctrine luthérienne

En 1598 est promulguée une autre Ordonnance ecclésiastique, l’une des plus volumineuses du XVIe siècle (Sehling 20, I, p. 537-699). Elle est l’aboutissement d’un mouvement accru de luthéranisation, qui s’amorce chez Bucer, notamment par la Concorde de Wittenberg de 1536, pour se déployer pleinement sous Marbach dans la seconde moitié du XVIe siècle. L’accent est mis sur l’uniformité de la doctrine, qui s’exprime par les confessions de foi luthériennes, rassemblées dans le Livre de Concorde. Le texte ne prend pas seulement ses distances par rapport au catholicisme, mais aussi par rapport à la théologie réformée, en particulier dans la conception de la cène et de la prédestination. Une première partie de l’Ordonnance (p. 537-581) expose le cœur de la doctrine luthérienne, c’est-à-dire la justification par la foi en fonction de laquelle s’orientent les autres articles. L’autorité de l’Écriture sainte est rappelée et la traduction de Luther est mise en valeur. L’Ordonnance de 1598 se réfère explicitement aux trois symboles de l’Église ancienne (p. 544) : le symbole des apôtres, le symbole de Nicée-Constantinople et le symbole d’Athanase. Un long développement (p. 546-581), qui mêle des informations historiques et des considérations doctrinales, expose, selon un point de vue luthérien, le conflit qui, pour un temps, a éloigné Bucer et ses collègues de Luther, avant de les rapprocher de nouveau et de conduire à l’adoption définitive par les Strasbourgeois de la Confession d’Augsbourg. La seconde partie de l’Ordonnance traite des cérémonies. Par la suite, cette Ordonnance sera rééditée plusieurs fois, encore en 1774. Il est question des divers cultes, célébrés le dimanche et en semaine à Strasbourg, de la prédication, du baptême, de la cène et de la préparation des communiants le samedi soir, mais aussi de la cène donnée aux malades. Parmi les fêtes célébrées apparaît désormais le Vendredi saint. Une place, plus grande que dans les premières années de la Réformation, est faite à l’orgue et à la musique. Le chant est valorisé. La pratique du catéchisme est explicitée, ainsi que tout ce qui concerne le mariage, les obsèques et l’ordination des ministres.

Une troisième partie aborde le ministère pastoral, l’engagement des pasteurs, leur pratique du ministère, leurs réunions régulières, l’activité du convent ecclésiastique et celle de son président, les écoles, le séminaire et l’hôpital. Il est question aussi des anabaptistes, de la jeunesse, du dimanche, des visites pastorales (inspections), limitées, en fait, aux Églises de la campagne dépendant de la ville. Il n’est question nulle part de la confirmation.

Les ordonnances du comté de Hanau-Lichtenberg

À côté de l’Ordonnance ecclésiastique du Hanau-Lichtenberg, celle de Strasbourg a été la plus répandue. Elle fut non seulement en vigueur à Strasbourg et dans les localités dépendant de la ville, mais aussi dans celles aux mains des chevaliers passés au protestantisme, dans la baronnie de Fleckenstein et dans la seigneurie de Schoeneck. Une version révisée fut réalisée en 1670.

En 1573, une nouvelle Ordonnance ecclésiastique est promulguée dans le comté de Hanau-Lichtenberg, réunifié en 1570, et comportant 136 villages (Sehling 20, II, p. 48-81). Le premier article précise le déroulement du culte. Là où existe une école latine, les élèves doivent chanter une antienne en latin. Ailleurs, tout se passe en allemand. À côté de la prédication, qui doit éviter la polémique, les spéculations et les fables enfantines, le pasteur chante certaines parties du culte. L’instruction catéchétique doit se faire tous les dimanches sur la base du Petit Catéchisme de Luther et avec examen des enfants. Les baptêmes seront célébrés dans le cadre du culte. Le pasteur doit donner son accord pour le choix des parrains. La cène sera célébrée six fois par an et sera précédée, la veille, par un culte de préparation. Les mariages auront lieu en présence de toute l’assemblée paroissiale. Les fêtes traditionnelles doivent être célébrées, y compris les fêtes mariales. Tous les ans, entre Pâques et Pentecôte, chaque paroisse doit être inspectée par des représentants de l’autorité civile et de l’autorité ecclésiastique. L’interrogatoire porte à la fois sur la vie, sur les croyances des fidèles et sur le ministère du pasteur. Un synode annuel doit réunir les pasteurs.

En 1659, paraît une nouvelle édition de cette Ordonnance ecclésiastique. Longue de 552 pages, elle est six fois plus volumineuse que celle de 1573. C’est un véritable manuel de droit ecclésiastique. Elle traite, en particulier, des privilèges des pasteurs et des enseignants. Ils sont dispensés de l’obligation de monter la garde et de participer aux corvées, les biens curiaux ne sont pas soumis à l’impôt. Trois grandes parties de l’Ordonnance traitent du culte et de la discipline, de l’administration de l’Église et des prières. Relevons que l’Ordonnance prévoit aussi des dispositions pour le baptême d’un Turc.

L’ordonnance de l’Église de Munster

Limitée à l’Église de Munster et jamais imprimée, une Ordonnance ecclésiastique de 1575 (Sehling 20, II, p. 369-382) ne contient ni textes de prières, ni dispositions concernant l’administration de l’Église. Elle souligne l’obligation de participer au culte, sous peine d’être exposé dans une cage, à la risée des passants. Seuls ceux qui se rattachent à la confession d’Augsbourg et mènent une vie honorable peuvent être parrains. L’autorisation des parents ou des tuteurs est requise pour se marier. L’adultère sera sévèrement puni. Des peines rigoureuses sont prévues pour les blasphémateurs et divers excès dans la vie sociale.

L’ordonnance de Colmar

À Colmar, ville qui n’est passée au protestantisme qu’en 1575, on s’est référé d’abord, semble-t-il, à l’Ordonnance ecclésiastique du Wurtemberg, avant de promulguer, en 1637, une Ordonnance propre à la ville. Mais, pour l’essentiel, elle se fonde sur les Ordonnances du Wurtemberg et de Strasbourg. Elle traite du déroulement des divers cultes célébrés le dimanche, d’autres célébrations le mercredi et le vendredi, d’un culte de pénitence mensuel et d’autres cultes au cours de l’année. La cène est célébrée tous les mois et aux grandes fêtes de l’année ecclésiastique, avec une préparation la veille. Une version élargie de l’Ordonnance paraît en 1648. Elle comporte, en particulier, le Petit Catéchisme de Luther et celui de Brenz et précise les conditions requises pour se marier, ainsi que les modalités pour l’engagement d’un pasteur.

Articles organiques et ordonnances

Plus ou moins bien observées, selon les temps et les circonstances, les diverses Ordonnances ecclésiastiques sont restées en vigueur jusqu’à la fin de l’Ancien Régime. L’unification des Églises luthériennes et la constitution, par les Articles Organiques de 1802, d’une seule entité ecclésiale luthérienne, désignée par « les Églises de la confession d’Augsbourg », et la création d’Églises réformées relevant des mêmes Articles les ont rendues obsolètes. Pourtant, l’article 44 des Organiques affirme que « les attributions du Consistoire général et du Directoire continuent d’être régies par les règlements et coutumes des églises de la Confession d’Augsbourg, dans toutes les choses auxquelles il n’a point été formellement dérogé par les lois de la République et par les présents articles ».

Les Articles organiques promulgués par l’État constituent, jusqu’à nos jours, la base du statut juridique des Églises protestantes d’Alsace-Moselle. Par la suite, divers décrets ont complété ou modifié certaines de ses dispositions. À côté des lois et décrets émis par l’État, fixant le statut des Églises et précisant leurs institutions et leur fonctionnement, un droit interne de type réglementaire a, peu à peu, été mis en place par les organes directeurs des Églises, tels que le Directoire et le Consistoire général (supérieur) de l’Église de la Confession d’Augsbourg et les Consistoires réformés, réunis en 1905 en un synode commun. Le droit interne, reconnu de manière générale par l’État, et qui, lui aussi, a pu varier au cours du temps, concerne les divers aspects de la vie de l’Église, en tenant compte à la fois des traditions doctrinales des Églises concernées et des conditions actuelles, dans lesquelles s’exerce leur service.

Bibliographie

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