Drittmann
tiers-arbitre
Dans une procédure d’arbitrage médiévale, chaque partie désigne des arbitres (ratlùte) en nombre égal. Pour qu’une majorité se dégage, il faut leur adjoindre un neutre appelé obman (surarbitre), qui est désigné d’un commun accord soit par les parties, soit par leurs ratlùte. Si chaque partie n’a désigné qu’un ratman, l’obman est aussi appelé drittman ; si chacune désigne deux ratlùte, l’obman sera dit fünftman.
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Elisabeth Clementz