Noël

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Weihnachten  

Le choix de la date de Noël

Les hésitations de l’Église

L’Église d’Occident hésita longtemps avant de prendre la décision de célébrer la Nativité du Christ. Pendant près de trois siècles, les chrétiens ne semblent avoir célébré d’autre fête annuelle que celle de Pâques. L’Église ne voulait pas qu’il y eût confusion avec les rites païens, telles les saturnales romaines (célébrées du 17 au 25 décembre), mais surtout le culte de Mithra qui s’était développé aux IIe et IIIe siècles. L’empereur Aurélien (270-275) avait tenté d’imposer cette divinité dans l’ensemble de l’Empire romain. Son culte était apparu vers le milieu du IIe siècle dans la région de Strasbourg avec l’installation de la VIIIe Légion et la création du castrum d’Argentorate. La renaissance annuelle de Mithra et la célébration de Sol Invictus finirent par fusionner et être fêtées le 25 décembre. La date correspondait à la nuit la plus longue de l’année qui précède immédiatement la « remontée » du soleil dans le ciel. Le solstice d’hiver, qui était dans les anciennes sociétés européennes un moment chargé d’une forte sacralité, permit le rapprochement des deux traditions par l’assimilation du « Christ, Lumière de Dieu » au Soleil victorieux. Cette adaptation renvoie à la coïncidence entre la Résurrection du Christ à Pâques et les anciennes fêtes agraires marquant le renouveau de la nature lors de l’équinoxe de printemps.  

Ce n’est pourtant qu’au milieu du IVe siècle, entre 352 et 356, que le pape Libère célèbre dans la basilique romaine nouvellement construite « la fête de l’Incarnation ». De nombreux évêques ne sont pas prêts à agir de même, marquant leur indépendance par rapport à la papauté. Mais peu à peu, ce choix paraît s’imposer aux chrétiens par l’impossibilité où ils se trouvent de supprimer les coutumes païennes. En 440, l’Église décide officiellement de célébrer la naissance du Christ le 25 décembre et Noël devint une fête d’obligation. Autour de l’an 554, le moine Denys le Petit fixe arbitrairement la naissance du Christ en l’an 525 de la fondation de Rome.  

En Alsace, nous manquons de données sûres au sujet de la célébration de Noël avant le VIIIe siècle. C’est à ce moment que le diocèse de Strasbourg est réorganisé par l’évêque Heddo dont le long épiscopat (734-776) marque un essor considérable de la foi chrétienne. C’est sous cet évêque que Charlemagne est venu fêter Noël à Sélestat en l’an 775. C’est la première trace connue de la célébration de Noël en Alsace.  

Variations de la date du début de l’année

Au Moyen Âge, la façon de calculer le début de l’année est de partir de la naissance du Christ (a nativitate), ou dans certains usages oraux (Sprachgebräuche) à partir de l’Incarnation (a incarnatione). Au temps de Charlemagne, l’année commençait à Noël. Le couronnement impérial qui eut précisément lieu un 25 décembre en l’an 800 a en quelque sorte sacralisé la date.  

La chancellerie pontificale gardera la date de Noël qui devint la coutume de l’Église. Le pape Boniface VIII (1294-1303) rappelle cet usage qui fut confirmé par le concile de Cologne de 1310, faisant du 25 décembre le début officiel de l’année civile.  

Il n’en fut pas de même au niveau des diocèses. En Allemagne, à partir de 1310, dans l’évêché de Trêves, l’année débute le 25 mars (appelé usage de la Résurrection). C’est encore le cas en 1356. Autre particularité, celle du diocèse de Bâle, où les agents de l’évêque utilisaient deux systèmes de datation (Grotefend et Bailliard, p. 40-42).  

Tout au long du XVe siècle, on observe en effet une grande variété des dates selon les diocèses. L’explication en est à rechercher dans l’interprétation du terme Incarnation (incarnatio), tantôt interprété au sens de Nativité (nativitas), tantôt à celui d’Annonciation (annunciato). Ce n’est que vers l’an 1500 que le choix du 1er janvier comme début de l’année a été édicté dans l’Empire. En France, il faut attendre l’édit du Roussillon du 9 août 1564 pour que Charles IX rendît cette date obligatoire.  

Les jeux liturgiques de Noël

La cathédrale de Strasbourg a connu au Moyen Âge la tradition des jeux liturgiques et des mystères. Les jeux les plus anciens datent du XIe siècle et racontent l’histoire du péché originel avec l’arbre de la connaissance du bien et du mal. La naissance du Christ et le jeu des rois mages représentaient, quant à eux, le thème du Paradis et de la chute.  

Le jeu des trois Mages, l’Officium Stellae, se jouait au XIIe siècle à l’intérieur de la cathédrale, qui est celle de l’évêque Werner. Ils s’inspiraient de l’évangile de saint Matthieu qu’ils reprenaient presqu’à la lettre, mais auquel était ajouté un dialogue des sages-femmes qui figurait dans l’évangile apocryphe intitulé De Nativitate Mariae et Infantia Salvatoris. Ils étaient joués en-dehors de la liturgie proprement dite, mais exclusivement par des clercs.  

Le manuscrit renfermant le mystère a été édité en 1920 par dom André Wilmart qui lui a donné le nom deCantatorium de l’Église de Strasbourg. Il renferme le texte du mystère Stella, terme qui renvoie aux trois rois mages. C’est ce texte qui était donné dans la cathédrale le jour de l’octave de l’Épiphanie. La plus ancienne rédaction du mystère Stella est un court fragment trouvé sur le feuillet de garde à la fin du psautier de Charles le Chauve qui peut être l’archétype de celui de Limoges et de Strasbourg. Le texte comprend 10 courtes « scènes ». Curieusement la Vierge ne figure pas parmi les personnages. À sa place, les sages-femmes (qui, selon la légende, auraient assisté à l’accouchement de Marie) servent d’interprètes, annonciateurs du dessein de Dieu sur son fils.  

En étudiant le manuscrit du mystère des Mages, Wilmart, et à sa suite J. Walter, voient dans plusieurs planches du Hortus Deliciarum, rédigé entre 1159 et 1175, une représentation de la mise en scène du mystère Stella, notamment concernant les trois rois, leur costume et leur couleur. Walter en publie d’ailleurs quatre folios qui lui paraissent les plus caractéristiques. À côté des miniatures des trois rois, se trouve la note suivante : Rex Melchior canus fuisse scribitur in capillis et in barba, tunica inditus iacintina et pallio prolimito et ipse obtulit aurum. Caspar iuvenis et iocundus bissina vesta inditus et ipse thus obtulit. Patisar capillis et barba niger tunica rubea inditus et varia calciamenta serica et ipse obtulit mirram (Le roi Melchior avait la barbe et les cheveux blancs, était vêtu d’une tunique violette et d’un manteau à couleur variée. C’est lui qui offrit l’or. Caspar, jeune et gai, portait un vêtement byssus (pourpre) et offrit l’encens. Patisar avait les cheveux et la barbe noirs, porte une tunique rouge et des chausses de soie variée. Il présente la myrrhe) (Trad. J. Walter).  

Celui-ci voit dans les nombreuses représentations iconographiques de l’Épiphanie, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de la cathédrale – sur les tympans des portails nord et sud, sur les volets de l’ancien orgue ou sur plusieurs panneaux des vitraux –, l’importance de ce mystère destiné à l’édification de la foi des auditeurs.  

Dans les siècles suivants, les mystères vont se multiplier à la cathédrale. Mais peu à peu, les acteurs ne seront plus exclusivement des clercs, mais des amateurs nobles, bourgeois, des membres des corporations et pour finir, au XVIe siècle, des professionnels regroupés en confréries. Il en est ainsi des jeux de Noël donnés à Colmar en 1462 par les habitants de Rouffach, Pfaffenheim et Eguisheim (Frank Muller). Les spectateurs qui ont d’abord été des fidèles, ensuite des croyants curieux, sont remplacés par des personnes qui recherchent davantage l’émotion que l’édification.  

La tradition du sapin de Noël en Alsace

Le sapin est depuis l’Antiquité présent dans les paysages, les vies et l’imaginaire des régions de l’espace rhénan. Dans son Histoire naturelle, Pline l’Ancien, qui participa comme tribun militaire à plusieurs campagnes en Rhénanie inférieure, évoque le Massif Vosgien parmi les régions du monde romain où les sapins sont « les plus estimés ». À l’époque romaine, la tradition voulait qu’au début de l’année, on décore la maison avec des branches de sapin en l’honneur du dieu Janus qui présidait au commencement de toutes choses.  

Les sapins des paroisses

Pour trouver la première mention de la tradition du sapin, il faut se plonger dans les comptes des villes ou des institutions urbaines. Nous devons à François Joseph Fuchs la découverte en 2005, dans les comptes de l’Œuvre Notre-Dame de 1492/1493, de l’achat de 9 sapins de Noël pour chacune des 9 paroisses de Strasbourg, pour un montant de deux gulden. Déjà au XIIIe siècle, les Weistümer mentionnent la coutume d’aller couper du bois dans la forêt. Le coutumier de Boersch parle de ce droit, « trois jours seulement avant la naissance du Seigneur ». Celui de Bergbieten (1369) précise qu’il ne s’agit que de rameaux ou de branches d’arbre. Ces droits sont considérés comme anciens, relevant de l’usage fixé par la tradition, auf das alte herkommen. Très vite apparaît le souci de contrôler les abus et de protéger les forêts contre les excès d’abattage et de dégradation des forêts. Mais quelle est l’utilisation faite de ces branchages ? Dans son Narrenschiff publié en 1494, Sébastien Brant précise qu’ils sont destinés à décorer la Stube (ch. 65). Un peu plus tard, Geiler de Kaysersberg évoque dans son recueil de sermons paru en 1508 cette tradition ; il ne se scandalise pas de telles pratiques, tout simplement constate-t-il : « Ces choses semblables pour Noël, cela nous vient des païens. »  

Les sapins de Sélestat contre les sapins de Noël

Mais ce sont les archives de la Ville de Sélestat qui nous fournissent les données les plus précises : en 1521, elles donnent l’information suivante : « Item 4 schillings den förstern die meygen an sanct thomas tag zu hieten » (« de même 4 schillings aux gardes forestiers pour surveiller les mais à partir de la Saint-Thomas » (L. Naas, p. 38).  

Or cette fête est célébrée, dans les anciens calendriers liturgiques, le 21 décembre, le jour le plus court de l’année ou solstice d’hiver. Cette coutume de couper des mais nous renvoie immédiatement à la coutume du maie, ces arbres ou branchages coupés pour honorer quelqu’un, en particulier le 1er mai (voir : Mai, premier).  

En poursuivant dans les archives de Sélestat, on apprend que les édiles interdisent de couper des arbres de Noël, en s’élevant contre la tradition qui voulait qu’il soit permis à chacun d’entre eux de couper pour la période de Noël trois arbres et un pieu pour le transport. Il y est aussi question de wynachtsmayen, qui signifie à la fois l’arbre vert ou l’arbrisseau, notion qui renforce l’idée de croissance et de renouveau. Les mentions postérieures dans les comptes de la Ville de 1546, 1555, 1557 laissent entendre qu’il s’agit d’arbres sur pied situés dans les forêts de villages relevant de Sélestat, dans les collines sous-vosgiennes.  

Le développement de la coutume d’aller couper un sapin autour de la période de Noël inquiète les édiles des communes forestières tout comme les établissements religieux, tel le prieuré de Sainte-Foy de Sélestat qui, à la fin du XIe siècle, détient les 2/3 de la forêt de l’Osterwald.  

Les autorités municipales, soucieuses de protéger leur patrimoine forestier, sont alors amenées à prendre un ensemble de mesures dans ce sens. Ainsi à Sélestat, L. Naas a trouvé dans le premier Stadtbuch de la Ville de Sélestat la description d’une série de délits commis dans les forêts de la Ville de 1403 à 1412. Ainsi, on apprend que le 29 janvier 1412, Hensel Heckel a juré de ne couper du bois ni dans la forêt du prieur de Sainte-Foy, ni dans celle de la ville. Le premier livre de serments (Eidbuch) de la ville de Sélestat, copié dans les années 1498-1500, comprend par exemple le serment du garde-forestier de la forêt de Kintzheim (der forster eidt in Kungeheim walt). Cet agent doit se rendre quotidiennement dans la forêt pour assurer la garde et débusquer toute personne causant des dommages dans cette forêt. Le contrevenant sera dénoncé auprès du Statsschriber et du Meister und Rat (L. Naas, p. 40-41). À partir du XVIe siècle, les mentions de sapin se multiplient en Alsace comme dans l’espace rhénan ; ainsi à Ammerschwihr (1448 et 1561), à Kaysersberg (1556), à Turckheim (1576) et de l’autre côté du Rhin, à Fribourg.  

La décoration du sapin aux XVIe-XVIIe siècles

Si l’Église a tenté un moment de s’opposer à la tradition de décorer les maisons, elle a rapidement pris conscience qu’elle ne pouvait continuer à l’interdire.  

Au XVIe siècle, le sapin décore la salle des corporations au cours de leur fête de Noël. Puis progressivement, il fait son entrée dans les maisons privées, où il a les honneurs de la Stube. En 1604, le pasteur, professeur de théologie et président du convent ecclésiastique de Strasbourg, Jean Conrad Dannhauer, a beau déplorer sa présence dans les maisons, accompagné de sa décoration païenne ; celle-ci est alors constituée de papier de couleur et de friandises. Mais rien n’y fit, son usage se généralisera. Alors, comme elle l’avait fait pour la fête de Noël, l’Église va tenter de s’approprier le symbole du sapin.  

Les documents de la fin du XVIe siècle commencent à nous renseigner de façon précise sur le décor de l’arbre de Noël. Les comptes de la ville de Turckheim nous informent qu’en 1597 des dépenses étaient engagées pour la fête de Noël et que, parmi les objets à acheter, se trouvent des pommes, des jeux, mais aussi des papiers peints. Les pommes rappellent la chute et l’expulsion d’Adam du paradis et évoquent l’Ancien Testament ; les hosties non consacrées symbolisent la Rédemption par la venue du Christ (Nouveau Testament).  

La longue période de la guerre de Trente Ans s’est traduite en Alsace par une éclipse de la célébration de l’arbre de Noël. Ainsi dans les archives de la Ville de Sélestat, longtemps la coutume n’est plus mentionnée. On retrouve à nouveau sa trace à partir de 1655.  

La mondialisation de la tradition

Au XVIIIe siècle, la coutume continue à se répandre. C’est à cette époque que la mention de bougies apparaît pour la première fois en 1785 dans un écrit de la baronne d’Oberkirch.  

La tradition de l’arbre de Noël gagne dès le XVIIIe siècle le reste de l’Allemagne. La Bavière et l’Autriche l’adoptent dans les premières années du XIXe siècle. Au XIXe siècle, le sapin de Noël traverse même l’Atlantique. Des immigrés originaires des terres germaniques propagent cette coutume en Pennsylvanie, dans le New Jersey et dans l’Ohio.  

L’arbre de Noël est désormais soit installé sur une table, soit suspendu par la cime au plafond de façon à mettre sa décoration et ses friandises à l’abri des rongeurs. C’est ce que nous montre la première représentation connue d’un sapin de Noël en Alsace. Il s’agit d’un dessin de Benjamin Zix (1772-1811), qui illustre un recueil de poésies intitulé Alemannische Gedichte, paru à Kalrsruhe en 1806 et dont l’auteur est Johann Peter Hebel.  

Nous ne disposons que de rares mentions du sapin sous la Révolution : le pasteur et poète de renom Gottfried Jakob Schaller rapporte qu’il est de coutume d’accrocher une branche de sapin dans un coin de la chambre des enfants. Les branches sont décorées de toutes sortes de friandises, de massepain et de noix dorées ou argentées. Au passage, il décrit malicieusement un sapin orné de « fruits suspendus même sur des chardons, surtout des pommes ressemblant à un prévôt respectable et honorable aux joues rouges cuivré » (G. Leser, p. 79). Une façon de railler les représentants de l’Ancien Régime.  

Le cycle de Noël

Le 26 décembre, le jour de la Saint-Étienne (Stephanstag)

Au Moyen Âge en Alsace, Noël était suivi d’un jour férié, tradition qui fut abolie par la suite. Il fallut attendre 1892 pour que l’Alsace renouât avec elle. En effet, à cette date, Guillaume II octroya cette journée pour honorer saint Étienne auquel la cathédrale de Metz était dédiée, mais aussi pour se rappeler au bon souvenir des Lorrains.  

Dans le monde rural, le 26 décembre représente une date importante, puisqu’on inaugure une nouvelle année économique, l’ancienne se terminant le 11 novembre (Saint-Martin). C’est également ce jour que prenait fin le contrat des valets et des servantes et qu’on versait leurs gages. Ceux dont le contrat n’était pas renouvelé faisaient leurs bagages (Bendelestag).  

Dans les paroisses catholiques, c’est également à cette date qu’étaient adjugés les bancs d’église.  

Le cycle des 12 jours

Les 12 jours qui relient Noël au Nouvel An sont restés longtemps chargés d’une symbolique. Les auteurs du Moyen Âge les désignaient comme leswihen Nächte. Ceux-ci marquent le passage de l’ancienne à la nouvelle année, un moment chargé de mystère où, dans le cosmos, s’opèrent d’étranges mouvements. Ces jours étaient désignés comme les Lostage, ou encore comme ’s kleine Johr (la petite année) (G. Leser, p. 121-122).  

La tradition des Lostage s’est maintenue dans les campagnes jusqu’à nos jours, en particulier dans le Kochersberg. Elle consiste à relever scrupuleusement le temps qu’il fait chaque jour du cycle. Ces douze jours préfigurent les 12 mois de l’année à venir.  

Bibliographie

Cantatorium, conservé à la British Library de Londres, ms. ad. 23 992, fol. 1-90, publié par André Wilmart, L’ancien Cantatoriom de l’Église de Strasbourg, manuscrit additionnel 23 992 du Musée britannique avec un mémoire de M. l’abbé J. Walter, Colmar, Alsatia, 1929.  

WALTER (Joseph), « Le Mystère « Stella » des trois rois mages joué à la cathédrale de Strasbourg au XIIe siècle », Archives alsaciennes d’histoire de l’art, Strasbourg-Paris, 1929, p. 39-50.  

GROTEFEND (Herman), Taschenbuch der Zeitrechnung des deutschen Mittelalters und der Neuzeit, Hanover-Leipzig, 1891- 1898, réimp. Aaalen, 1970-1974.   http://www.manuscriptura-mediaevalia.de  

FOLZ (Robert), Le couronnement impérial de Charlemagne, Paris, 1964, p. 169-177.  

BURG (André Marcel),Folklore et tradition en Alsace. Les réjouissances, Colmar, 1973.  

LESER (Gérard), Noël-Weihnachten en Alsace, rites, coutumes, croyances, Mulhouse, 1989.  

MEYER (Hubert), « Les premières mentions écrites de l’arbre de Noël dans les archives de la Ville de Sélestat », Annuaire des Amis de la Bibliothèque Humaniste de Sélestat, 53, 2003, p. 23-30.  

FUCHS (François Joseph), « Les comptes de l’Œuvre Notre-Dame de 1492/1493 », Bulletin de la Cathédrale, XXVII, 2006, p. 55-112.  

BAILLIARD (Jean-Paul), La mesure du temps et la pratique du calendrier en Alsace, hier et aujourd’hui,Fédération des Sociétés d’Histoire et d’Archéologie d’Alsace, Collection Alsace-Histoire, t. 3, 2009.  

NAAS (Laurent), « Sélestat, première trace de l’arbre de Noël », SA, n°46, novembre 2010, p. 37-41.  

FÖLLMI (Beat), « Liturgie et processions au Moyen Âge (XIe-XIVe siècles). La cathédrale au cœur d’une topologie sacrée », La cathédrale de Strasbourg en sa ville. Le spirituel et le temporel, Strasbourg, 2021, p. 19-51.  

Notices connexes

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