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L’office de ''Generalsuperintendant'', par l’intermédiaire duquel la chambre d’Innsbruck assurait la révision des comptes locaux, n’est pas supprimé, mais recentré sur la perception des péages.
 
L’office de ''Generalsuperintendant'', par l’intermédiaire duquel la chambre d’Innsbruck assurait la révision des comptes locaux, n’est pas supprimé, mais recentré sur la perception des péages.
  
Siégeant sous l’autorité du ''Landvogt'' et du chancelier des pays antérieurs dans le Palais de la Régence, construit entre 1535 et 1557, la Chambre dispose de sa propre chancellerie. Vers 1600, elle se compose d’un procureur ou procurateur fiscal (''Kammerprokurator''), interprète de la puissance publique, d’un receveur général, qui tient les cordons de la bourse, de cinq conseillers (''Kammerräte'') qui instruisent les dossiers, ordonnent et sanctionnent, ainsi que de sept employés de bureau ; elle se partage une dizaine d’autres agents avec la Régence, notamment des messagers. Elle exerce sa tutelle sur des techniciens spécialisés en matière de mines : ''Bergmeister'', ''[[Bergrichter|Bergrichter]]'' ; de monnaie : ''Münzmeister'' ([[Monnaies|Monnaies]]) ; de constructions : ''[[Baumeister|Baumeister]]'' ; d’[[Arsenal|arsenaux]] (''[[Zeugmeister|Zeugmeister]]'') ; de [[Forêt|forêt]] : ''Forstmeister'' ; ou de [[Pêche|pêche]] : ''Fischermeister''.
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Siégeant sous l’autorité du ''Landvogt'' et du chancelier des pays antérieurs dans le Palais de la Régence, construit entre 1535 et 1557, la Chambre dispose de sa propre chancellerie. Vers 1600, elle se compose d’un procureur ou procurateur fiscal (''Kammerprokurator''), interprète de la puissance publique, d’un receveur général, qui tient les cordons de la bourse, de cinq conseillers (''Kammerräte'') qui instruisent les dossiers, ordonnent et sanctionnent, ainsi que de sept employés de bureau ; elle se partage une dizaine d’autres agents avec la Régence, notamment des messagers. Elle exerce sa tutelle sur des techniciens spécialisés en matière de mines : ''Bergmeister'', ''[[https://dhialsace.bnu.fr/wiki/Bergbau#Bergrichter.2C_juge_minier.2C_trad._fr._anc._contr.C3.B4leur.2C_justicier_des_mines|Bergrichter]]'' ; de monnaie : ''Münzmeister'' ([[Monnaies|Monnaies]]) ; de constructions : ''[[Baumeister|Baumeister]]'' ; d’[[Arsenal|arsenaux]] (''[[Zeugmeister|Zeugmeister]]'') ; de [[Forêt|forêt]] : ''Forstmeister'' ; ou de [[Pêche|pêche]] : ''Fischermeister''.
  
 
Administrant les domaines directs des Habsbourg, percevant les revenus de justice, vérifiant les comptes des administrateurs locaux, elle est à même de centraliser les informations financières de son ressort, y compris la ''Landvogtei'' de [[Haguenau_(Landvogtei)|Haguenau]], celle de l’Ortenau, et les revenus des péages. Le total des revenus enregistrés en&nbsp;1600 est de 61 646&nbsp;florins (le Tyrol&nbsp;: 161 000, le total géré par la chambre du Tyrol étant de 349 355&nbsp;florins). Son fonctionnement, bureaucratique, bénéficie de nombreux relais dans les seigneuries&nbsp;; il se traduit assez systématiquement par l’usage de l’[[Imprimerie,_imprimeurs|imprimerie]] sous forme de circulaires et de lettres de rappel. Pour les régions romanes, elle a, à sa disposition, quelques agents bilingues, à l’exemple de la famille Balde, en poste à Giromagny avant de rejoindre Ensisheim au tournant du XVI<sup>e</sup> et du XVII<sup>e</sup> siècle.
 
Administrant les domaines directs des Habsbourg, percevant les revenus de justice, vérifiant les comptes des administrateurs locaux, elle est à même de centraliser les informations financières de son ressort, y compris la ''Landvogtei'' de [[Haguenau_(Landvogtei)|Haguenau]], celle de l’Ortenau, et les revenus des péages. Le total des revenus enregistrés en&nbsp;1600 est de 61 646&nbsp;florins (le Tyrol&nbsp;: 161 000, le total géré par la chambre du Tyrol étant de 349 355&nbsp;florins). Son fonctionnement, bureaucratique, bénéficie de nombreux relais dans les seigneuries&nbsp;; il se traduit assez systématiquement par l’usage de l’[[Imprimerie,_imprimeurs|imprimerie]] sous forme de circulaires et de lettres de rappel. Pour les régions romanes, elle a, à sa disposition, quelques agents bilingues, à l’exemple de la famille Balde, en poste à Giromagny avant de rejoindre Ensisheim au tournant du XVI<sup>e</sup> et du XVII<sup>e</sup> siècle.
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Version actuelle datée du 10 novembre 2020 à 14:22

Chambre

Du latin « camera », littéralement pièce voûtée.

Désigne, dans la maison traditionnelle, une chambre à vocation spécifique mais sans autonomie de chauffage, par opposition à la Stub qui constitue le vivoir quasi unique de la famille. En effet, le chauffage n’y est pas indispensable dans la mesure où l’on n’y séjourne, le plus souvent, qu’occasionnellement. Peu de ces pièces annexes étant dotées de poêles, on est éventuellement conduit à y transporter la chaleur au moyen de pierres chauffelit faisant fonction de bouillotes ou encore de bassinoires : on distinguera, dans les fermes alsaciennes de quelque importance, la (ou les) Stub(en) kammer ou untere Kammer, attenante à la pièce de séjour mais qui n’est pas explicitement affectée au couchage (sauf mention spéciale de Schlafkammer) et qu’on ne confondra donc pas avec l’alcôve et la Oberkammer ou obere Kammer, parfois réservée aux parents, qui en prennent possession le jour où ils se sont retirés de l’exploitation tout en bénéficiant d’un droit d’usage dans les communs (Stub et cuisine). Il arrive qu’une ouverture aménagée dans le plafond de la Stub permette de bénéficier de la chaleur du foyer unique. C’est que ni le confort, ni l’intimité, tels que nous les concevons de nos jours, ne répondent aux préoccupations de nos ancêtres. Par contre, ces petits espaces, appendices des pièces principales, témoignent, sinon d’une amorce de privatisation ou d’individualisation, retombée du bien-être bourgeois ou aristocratique, du moins d’un souci de hiérarchisation jusque dans les pièces composant la maison : Hauskammer ; vorderste, hinderste Kammer, Hinterkammer ; Nebenkämmerlein, ce dernier étant quasiment intégré à la cuisine ou à une pièce existante. L’évolution sera achevée lorsque la Kammer finira par désigner le débarras, la souillarde (Kämmerlein, Kämmerchen), le garde-manger ou encore le fumoir installé sur le conduit d’évacuation de la cheminée (Speckkammer ou -Kämmerlein, Fleischkammer, Rauchkammer). Enfin, est parfois mentionnée, dans les fermes employant un ou plusieurs domestiques, une Stallkammer située au-dessus de l’étable et réservée aux valets de ferme.

Bibliographie

KLEIN (Georges), Arts et traditions populaires d’Alsace. La maison rurale et l’artisanat d’autrefois, Colmar, 1984, p. 71-72 et 231.

BOEHLER, Paysannerie, 1994, t. I, p. 191, et t. II, p. 1118, 1140, 1246-1247, 1489-1490, 1570-1574, 1629, 1635-1636, 1639 et 1881.

GRODWOHL (Marc), Habiter le Sundgau, 1500-1636. La maison rurale en pans de bois. Techniques, culture et société, Riedisheim, 2010.

Notices connexes

Feu

Haus

Stub

Jean-Michel Boehler

Cabinet

Local situé au siège d’une ville, d’un seigneur ou d’un prince territorial, où se situe la résidence du gouvernant et le lieu où il conserve ses objets personnels et son trésor.

Local qui abrite l’institution, l’administration, et les finances d’une ville, seigneur ou prince territorial, la salle de délibérations

Et, par extension, l’institution délibérative, la Chambre, le Parlement.


Chambre des comptes des pays antérieurs de l’Autriche, vorderösterreichische Kammer

La Chambre des comptes des pays antérieurs de l’Autriche est l’organe chargé de contrôler les finances et d’administrer les domaines rhénans des Habsbourg dans le cadre du gouvernement provincial d’Ensisheim (Autriche antérieure). Son ressort s’étend principalement à la Haute-Alsace et au Comté de Ferrette, sur la rive gauche du Rhin, au Brisgau et aux seigneuries de la Forêt-Noire, mais sa compétence s’exerce également sur des appartenances plus lointaines comme le Val de Villé ou Medelsheim, en Sarre actuelle.

Sa création tardive (1570) s’explique par un ensemble de circonstances. En effet, dans la plupart des grandes principautés, des juridictions de ce type apparaissent au XIVe siècle et au XVe siècle, à l’instar de celle de comté de Bourgogne, instaurée à Dole en 1332, jumelée à celle du duché, à Dijon, en 1386 puis recréée par Philippe II en 1562 : sa compétence s’était exercée sur les terres alsaciennes engagées à Charles le Téméraire entre 1469 et 1474.

Du fait du déplacement de centre de gravité des Habsbourg initialement possessionnés en Argovie et sur le coude du Rhin, mais devenus maîtres des duchés autrichiens en 1281 et du Tyrol en 1363, puis de la perte du patrimoine originel de la dynastie, suite aux victoires des Confédérés, la gestion des pays à l’ouest de l’Arlberg (Vorlande, Vorderösterreich) s’avère de plus en plus difficile à partir de la deuxième moitié du XIVe siècle. Le terrier général, réalisé vers 1303, qui en répertorie les droits et les revenus est le catalogue d’un monde perdu, dans la mesure où ce qu’il décrit échappe à l’administration directe des officiers de la Maison d’Autriche, du fait des pertes territoriales, des inféodations et, surtout, des engagements en faveur de ses créanciers ; ainsi, le val de Villé, donné en gage au banquier strasbourgeois Henri de Mullenheim en 1314. Les moyens laissés à la disposition du bailli (Vogt, Landvogt) d’Ensisheim et de ses adjoints sont très réduits, et ne font pas l’objet d’une comptabilité systématique, sauf, sporadiquement, pendant la régence de la duchesse Catherine de Bourgogne (1411-1426) et un peu après. L’office de trésorier existe, mais se combine, vraisemblablement, avec d’autres fonctions (Pierre de Morimont est qualifié de Hubmeister en 1440). L’apparition des états provinciaux Elsässische Landstände (1433) donne lieu à la mise en place d’une fiscalité plus régulière, mais les impôts consentis (Hilfe, Schatzung), généralement sous forme de taxes (Maspfennig) sont levés et contrôlés par des commissions ad hoc. C’est un organisme de ce type qui perçoit les lourdes amendes infligées aux paysans insurgés de 1525 : on peut y voir le banc d’essai d’une administration permanente.

La réorganisation de la Chambre des Comptes d’Innsbruck, qui remonte à 1266, a lieu sous le règne du duc Sigismond (1439-1487/90) et celui de Maximilien Ier (1496) et se traduit par des registres de comptes (raitbücher, Comptes) conservés depuis 1455. Dans les pays antérieurs, le noyau administratif et judiciaire dirigé par le Landvogt de Haute-Alsace et du Sundgau se consolide sous la domination bourguignonne (vers 1470) et joue le rôle d’un parlement. Sa transformation en Régence (Regiment) a lieu entre 1490 et 1523, date d’une première Regimentordnung (17 août 1523), mais celle-ci est toujours subordonnée (eingeleibt) à celle d’Innsbruck. À partir de 1517/1525, une meilleure gestion des domaines et des finances princières aboutit au dégagement de certaines seigneuries, à présent directement tenues par des officiers (exemple de Belfort, dégagé en 1565). La maîtrise des forêts, créée à Ensisheim en 1557, est chargée de remettre de l’ordre dans l’usage de celles-ci en appliquant une Forstordnung qui s’impose à tout le pays. De même, le développement des mines des Vosges et de la Forêt-Noire exige un contrôle accru des modalités de concession et d’exploitation des filons argentifères suivant la Bergordnung de 1517 (Bergbau), tandis que la dissolution de la ligue monétaire du Rappen/Rappenmünzbund (Monnaies) fait renaître un monnayage territorial, autour de l’atelier d’Ensisheim (1584).

C’est pour répondre à ces charges nouvelles, et pour mettre fin aux retards de paiement soumis au bon vouloir de la Chambre tyrolienne, qu’est envisagée la création d’une Chambre siégeant à Ensisheim, aux côtés de la Régence proprement dite. Elle est instaurée par l’ordonnance du 14 juillet 1570 (Beemelmans, « Urkunden », p. 451-505) mais ses premières années sont difficiles du fait des réticences des officiers pressentis pour la mettre en place, le bailli de Thann Guillaume de Ruest et le greffier de cette ville, Sébastien Heckel (1568). De fait, le périmètre de ses attributions est mal défini, puisque la Régence s’obstine à ordonner certaines dépenses qui relèvent de la Chambre, et se défausse sur cette dernière en lui abandonnant les affaires féodales. L’ajustement des deux instances se fait progressivement, malgré un arbitrage de l’archiduc Ferdinand II (1574)  : les chamailleries se poursuivent jusqu’en 1630.

L’office de Generalsuperintendant, par l’intermédiaire duquel la chambre d’Innsbruck assurait la révision des comptes locaux, n’est pas supprimé, mais recentré sur la perception des péages.

Siégeant sous l’autorité du Landvogt et du chancelier des pays antérieurs dans le Palais de la Régence, construit entre 1535 et 1557, la Chambre dispose de sa propre chancellerie. Vers 1600, elle se compose d’un procureur ou procurateur fiscal (Kammerprokurator), interprète de la puissance publique, d’un receveur général, qui tient les cordons de la bourse, de cinq conseillers (Kammerräte) qui instruisent les dossiers, ordonnent et sanctionnent, ainsi que de sept employés de bureau ; elle se partage une dizaine d’autres agents avec la Régence, notamment des messagers. Elle exerce sa tutelle sur des techniciens spécialisés en matière de mines : Bergmeister, [[1]] ; de monnaie : Münzmeister (Monnaies) ; de constructions : Baumeister ; d’arsenaux (Zeugmeister) ; de forêt : Forstmeister ; ou de pêche : Fischermeister.

Administrant les domaines directs des Habsbourg, percevant les revenus de justice, vérifiant les comptes des administrateurs locaux, elle est à même de centraliser les informations financières de son ressort, y compris la Landvogtei de Haguenau, celle de l’Ortenau, et les revenus des péages. Le total des revenus enregistrés en 1600 est de 61 646 florins (le Tyrol : 161 000, le total géré par la chambre du Tyrol étant de 349 355 florins). Son fonctionnement, bureaucratique, bénéficie de nombreux relais dans les seigneuries ; il se traduit assez systématiquement par l’usage de l’imprimerie sous forme de circulaires et de lettres de rappel. Pour les régions romanes, elle a, à sa disposition, quelques agents bilingues, à l’exemple de la famille Balde, en poste à Giromagny avant de rejoindre Ensisheim au tournant du XVIe et du XVIIe siècle.

Après 1648, – elle avait été transférée à Brisach entre 1632 et 1638 –, l’institution continue à fonctionner à Fribourg-en-Brisgau pour la rive droite du Rhin.

Bibliographie

La Série 1C des Archives départementales du Haut-Rhin conserve l’essentiel des archives de la Chambre après 1570. Il peut être complété par le fonds de la Préfecture impériale de Haguenau dans la Série C des AD du Bas-Rhin. Pour la période antérieure, les registres de comptes de la Chambre de Haute-Autriche se trouvent au Tiroler Landesregierungsarchiv d’Innsbruck.

Cf. Répertoire numérique détaillé du fonds de la régence autrichienne d’Ensisheim : sous-série 1 C : XIIIe s.-1638, réalisé par Lucie ROUX, et mis en forme par Marie-Ange Glessgen-Duvignacq et Benoît Jordan, Colmar, 1995.

Une étude exhaustive de ces documents reste à faire.

BEEMELMANS (Wilhelm), « Urkunden zur Geschichte der vorderösterreichischen Behörden in Ensisheim », BSCMH, t. 23, 1911, p. 438-524.

BEEMELMANS (Wilhelm), « Die Organisation der vorderösterreichischen Behörden in Ensisheim im 16. Jhdt », ZGOR, NF 22, 1907, p. 52-92 et 626-656 et 23 (1908), p. 195-200.

BEEMELMANS (Wilhelm), Die Verfassung und Verwaltung der Stadt Ensisheim im 16. Jahrhundert, Strasbourg, 1908.

BEEMELMANS (Wilhelm), « Zur Geschichte der vorderösterreichischen Münzstätte Ensisheim im Oberelsaß », Forschungen und Mitteilungen zur Geschichte Tirols und Vorarlberg, s. d.

STOLZ (Otto), Geschichtliche Beschreibung der ober-und vorderösterreichischen Lande, Karlsruhe, 1943 (documents).

STOLZ (Otto), « Die Verhältnisse der vorderösterreichischen Lande zu den landesfürstlichen Regierungen in Innsbruck und Wien », METZ (Friedrich), Vorderösterreich, Fribourg, 1967, p. 106-116.

MOSER (Heinz), TURSKY (Heinz),Die Münzstätte Hall in Tirol (1477-1665), Innsbruck, 1977.

SEIDEL (Karl Josef), Das Oberelsass vor dem Übergang an Frankreich : Landesherrschaft, Landstände und fürstliche Verwaltung in Alt-Vorderösterreich, 1602-1638, Bonn, 1980.

BISCHOFF (Georges), Gouvernés et gouvernants en HauteAlsace à l’époque autrichienne : les états des pays antérieurs des origines au milieu du XVIe siècle, Strasbourg, 1982.

OBERLE (Raymond), « Les landgraves d’Alsace et la monnaie d’Ensisheim », Bulletin de la Société industrielle de Mulhouse, Mulhouse, 1985.

SCHWIEN ( Jean-Jacques), Ensisheim, le lieu du glaive. Recherches sur la mémoire d’une ville, Strasbourg, Thèse dactylographiée, Strasbourg, 1985.

BISCHOFF (Georges), « Ensisheim et l’Alsace autrichienne au début du XVIIe siècle : le milieu de Jacob Balde », Jahrbuch für internationale Germanistik, 1986, p. 14-35.

WESTERMANN (Angelika), Entwicklungsprobleme der Vorderöseterreichischen Montanwirtschaft im 16. Jahrhundert, Heidelberg, 1993.

LIEBELIN (François), Mines et mineurs du Rosemont (Giromagny, 1987), rééd. complétée par P. Fluck, Soultz, 2015.

Notices connexes

Angalt

Archives

Arsenal

Autriche antérieure

Avoué

Bailli

Baumeister

Bergbau

Comptes

États d’Alsace (Elsässische Landstände)

Finances

Fiscalité

Forêts

Kanzler

Landvogt

Maspfenning

Monnaies

Pêche

Régence

Rappenmünzbund

Schatzung

Vogt

Georges Bischoff