Fief-rente : Différence entre versions

De DHIALSACE
Aller à : navigation, rechercher
m (style)
 
(2 révisions intermédiaires par un autre utilisateur non affichées)
Ligne 6 : Ligne 6 :
 
== Bibliographie ==
 
== Bibliographie ==
 
<p class="mw-parser-output" style="text-align: justify">RÖDEL (Volker), ''Reichslehenswesen, Ministerialität, Burgmannschaft und Niederadel'', Marburg, 1979, p. 293-99.</p> <p class="mw-parser-output" style="text-align: right">'''Bernhard Metz'''</p>   
 
<p class="mw-parser-output" style="text-align: justify">RÖDEL (Volker), ''Reichslehenswesen, Ministerialität, Burgmannschaft und Niederadel'', Marburg, 1979, p. 293-99.</p> <p class="mw-parser-output" style="text-align: right">'''Bernhard Metz'''</p>   
[[Category:F]] [[Category:Institutions féodales]] [[Category:Droit privé]] [[Category:Droit foncier]]
+
&nbsp;
 +
 
 +
[[Category:F]][[Category:Droit (sources et pratique du droit) et Justice]][[Category:Etat et pouvoirs]]

Version actuelle datée du 12 novembre 2021 à 13:08

fief de bourse, Rentenlehen

Fief consistant non en biens immobiliers ni en revenus variables tels que dîme, taille, péage, mais en une rente annuelle d’un montant fixe, en argent ou en nature. L’avantage pour le vassal est qu’il n’a pas à s’occuper de la gestion des biens ni (sauf exceptions) de la perception des revenus, ni à craindre une baisse de ces derniers ; le seigneur, lui, a l’avantage de garder la main sur le fief : il lui suffit de cesser de payer la rente pour mettre fin de facto à un lien vassalique qui ne lui convient plus. Il peut aussi racheter la rente, mais dans ce cas, le plus souvent, le vassal est tenu d’assigner le montant du rachat sur un bien immobilier qu’il tiendra désormais en fief.

Bibliographie

RÖDEL (Volker), Reichslehenswesen, Ministerialität, Burgmannschaft und Niederadel, Marburg, 1979, p. 293-99.

Bernhard Metz