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== <span style="font-size:x-large;">Sources - Bibliographie</span> == | == <span style="font-size:x-large;">Sources - Bibliographie</span> == | ||
<p class="8-Sourcespremire" style="text-align: justify;">AMS 1AH 115, f° 13b, ''Pfleger Ordnung''.</p> <p class="8-Sources" style="text-align: justify;">GRANDIDIER (Philippe André), ''Essais historiques et topographiques sur l’église cathédrale de Strasbourg'', Strasbourg, 1782, p. 74-75.</p> <p class="8-Sources" style="text-align: justify;">DACHEUX (Léon), « La chronique strasbourgeoise de Jean Wencker », ''Bull. de la Société pour la Conservation des Monuments Historique d’Alsace,'' s. II, vol. 15, 1892, p. 75-190.</p> <p class="8-Sources" style="text-align: justify;">FUCHS (François-Joseph), « Les comptes de la fondation de l’œuvre Notre-Dame, année 1419 », ''Bulletin des Amis de la cathédrale'', t. 26, 2004, p. 9-52 [sous f° 37v°].</p> | <p class="8-Sourcespremire" style="text-align: justify;">AMS 1AH 115, f° 13b, ''Pfleger Ordnung''.</p> <p class="8-Sources" style="text-align: justify;">GRANDIDIER (Philippe André), ''Essais historiques et topographiques sur l’église cathédrale de Strasbourg'', Strasbourg, 1782, p. 74-75.</p> <p class="8-Sources" style="text-align: justify;">DACHEUX (Léon), « La chronique strasbourgeoise de Jean Wencker », ''Bull. de la Société pour la Conservation des Monuments Historique d’Alsace,'' s. II, vol. 15, 1892, p. 75-190.</p> <p class="8-Sources" style="text-align: justify;">FUCHS (François-Joseph), « Les comptes de la fondation de l’œuvre Notre-Dame, année 1419 », ''Bulletin des Amis de la cathédrale'', t. 26, 2004, p. 9-52 [sous f° 37v°].</p> | ||
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Version du 14 décembre 2018 à 23:11
Fête de la Saint-Adelphe (29 août)
Fête de la dédicace (Kirchweihe) de la cathédrale de Strasbourg, de 1275 à 1978. Depuis 1979, suite à la mise à jour post-conciliaire du calendrier, elle a été reportée au 7 septembre. C’est une fête propre au diocèse de Strasbourg.
Selon une ancienne tradition, la Saint-Adelphe était un jour de grande affluence à la cathédrale où Strasbourgeois et habitants des villages environnants se rassemblaient et passaient la nuit. A cette occasion, l’Œuvre Notre-Dame leur distribuait ½ foudre de vin – environ 500 litres – servi dans des pichets (Adolfs Krüge). Selon Grandidier, ces veillées dégénérèrent en « un affreux libertinage » et donnèrent lieu « aux excès les plus criminels ». A partir de 1482, Geiler de Kayserberg s’éleva énergiquement contre ces pratiques qui cependant ne cessèrent dans le diocèse qu’en 1549 par décision du synode de Saverne.
A la Saint-Adelphe, ainsi que durant les deux jours précédents et suivants, on jouissait à Strasbourg d’une immunité personnelle : nul ne pouvait être poursuivi en justice, sauf les criminels et ceux qui purgeaient une peine édictée par la Ville (1308). Le même jour, un marché se tenait en ville. A l’Œuvre Notre-Dame, un grand banquet était donné et ses administrateurs (Pfleger), ainsi que ceux de l’Hôpital, percevaient des fruits (Adolfsobst).
Jean-Marie Holderbach
Sources - Bibliographie
AMS 1AH 115, f° 13b, Pfleger Ordnung.
GRANDIDIER (Philippe André), Essais historiques et topographiques sur l’église cathédrale de Strasbourg, Strasbourg, 1782, p. 74-75.
DACHEUX (Léon), « La chronique strasbourgeoise de Jean Wencker », Bull. de la Société pour la Conservation des Monuments Historique d’Alsace, s. II, vol. 15, 1892, p. 75-190.
FUCHS (François-Joseph), « Les comptes de la fondation de l’œuvre Notre-Dame, année 1419 », Bulletin des Amis de la cathédrale, t. 26, 2004, p. 9-52 [sous f° 37v°].
