Chemise de sorcière : Différence entre versions

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Version du 6 septembre 2024 à 12:40

Drutenkleid, Hexenhemd, Schandkleid

Chemise grossièrement tissée en chanvre dont on revêtait les accusés/accusées de sorcellerie après les avoir dénudés et rasés. Ce procédé contribuait à déshumaniser l’inculpé, mais aussi à s’assurer qu’il ne gardait pas sur lui d’éventuels produits maléfiques fournis par le diable. A Molsheim, en 1631, Barthélemy Pfeiffer, qui n’avait que 16 ans, dut pourtant revêtir une chemise semblable avant de s’installer sur le siège d’insomnie.

Notices connexes

Chaise d'insomnie

Droit criminel, droit pénal

Sorcellerie

Louis Schlaefli