Estrapade : Différence entre versions

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JEHIN (Philippe), « Les aveux d’une sorcière en 1619 », ''Dialogues transvosgiens'', 17, 2002, p. 84-95.
 
JEHIN (Philippe), « Les aveux d’une sorcière en 1619 », ''Dialogues transvosgiens'', 17, 2002, p. 84-95.
  
 
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Version actuelle datée du 16 juin 2021 à 12:58

Supplice consistant à disloquer les épaules.

L’estrapade est notamment utilisée lors des séances de torture judiciaire (v. Question) pour obtenir des aveux de la part de l’inculpé. Il s’agit d’une méthode en usage notamment dans les procès pour sorcellerie. Le supplicié est suspendu par une corde attachée aux mains liées dans le dos. Des poids peuvent être accrochés aux pieds pour augmenter la souffrance.

Bibliographie

JEHIN (Philippe), « Les aveux d’une sorcière en 1619 », Dialogues transvosgiens, 17, 2002, p. 84-95.

Notices connexes

Constitution caroline

Droit de l’Alsace (procédure et droit criminel)

Question

Supplice

Philippe Jéhin