Garde-scel : Différence entre versions
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MULLER (Christine), « L’imprimeur strasbourgeois Heinrich Eggestein », ''Ann. des Amis du Vieux Strasbourg'', 33, 2008, p. 25-31. | MULLER (Christine), « L’imprimeur strasbourgeois Heinrich Eggestein », ''Ann. des Amis du Vieux Strasbourg'', 33, 2008, p. 25-31. | ||
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Version du 15 novembre 2021 à 11:53
Insigler, Sigillifer
Après l’official lui-même, le garde-scel est le personnage principal de l’officialité. Il scelle tous les documents qui en émanent, ce qui lui donne l’occasion, d’une part, d’en vérifier la correction (et partant de contrôler tout le fonctionnement du service), d’autre part, de percevoir toutes les taxes correspondantes, qui sont l’unique ressource de l’officialité ; il devient ainsi son comptable et le responsable de son organisation matérielle. Le garde-scel le plus célèbre, mais non le plus recommandable, est Heinrich Eggestein (1450-55 et 1461-64), un des premiers imprimeurs d’Alsace.
Bibliographie
STENZEL (Karl), « Die geistlichen Gerichte zu Straßburg im 15. Jh. », ZGO, 68, 1914, p. 369-370.
LEVRESSE (René Pierre), « L’officialité épiscopale de Strasbourg, son organisation », AEA, 51, 1994, p. 123-125.
MULLER (Christine), « L’imprimeur strasbourgeois Heinrich Eggestein », Ann. des Amis du Vieux Strasbourg, 33, 2008, p. 25-31.
Bernhard Metz